
Publié le
par
Gérer les incidents sans outil structuré, c'est un peu comme jouer aux échecs les yeux bandés : vous savez que des pièces bougent, mais vous ne voyez pas lesquelles. Un mail par-ci, un SMS par-là, une info glissée entre deux portes… et soudain, l'incident oublié depuis trois semaines refait surface et c’est la crise.
Ce brouillard opérationnel n'est pas une fatalité. Encore faut-il identifier ce qui l'entretient. Voici les six erreurs invisibles, mais coûteuses, et comment un outil de ticketing peut vous aider à en sortir.
Le scénario type : Sophie signale une prise défaillante par mail. Le message passe à la trappe. Trois semaines plus tard, elle relance. Entre-temps, elle a bricolé une rallonge dangereuse que personne n'a documentée.
Sans processus défini, les demandes arrivent de partout : mail, téléphone, SMS, interpellation dans l'ascenseur. Résultat ? Des tickets oubliés, des informations perdues, et l'impression de toujours courir après les problèmes.

Le scénario type : Votre entreprise occupe trois étages. Chacun gère "ses" incidents : Excel ici, carnet là, fichier partagé jamais à jour. Comment repérer qu'un même équipement tombe en panne partout si personne ne croise les données ?
Le scénario type : Votre boîte mail déborde de demandes marquées "URGENT". Une ampoule grillée côtoie une panne d'ascenseur. Le problème de thermostat est traité avec la même priorité qu'une fuite d'eau qui menace le serveur informatique. Quand tout est urgent, plus rien ne l'est.
Cette absence de priorisation génère deux effets pervers : vous passez votre temps sur des micro-incidents visibles pendant que des problèmes critiques s'aggravent en silence.
Le scénario type : Marc a signalé un problème de chauffage il y a quatre jours. Silence radio. Alors il relance, par mail, par Teams, puis en personne.
D'après le Work Trend Index 2025 de Microsoft, un salarié est interrompu en moyenne toutes les deux minutes durant sa journée de travail.
Et chaque interruption nécessite environ 23 minutes pour retrouver sa concentration.
Multipliez par le nombre de collaborateurs inquiets qui relancent et vous comprenez pourquoi vos journées s'évaporent.
Le scénario type : Vous faites appel à un prestataire pour réparer la climatisation. Il passe... ou pas. Impossible de savoir s'il est vraiment intervenu, combien de temps, et ce qu'il a fait exactement. Quand la panne réapparaît, vous n'avez aucune preuve pour contester.

Le scénario type : Votre direction demande de justifier le budget maintenance. Vous savez que vos équipes ont traité "beaucoup" d'incidents, que le bâtiment B pose "souvent" problème. Mais combien exactement ? Vous naviguez à vue.
Sans données consolidées, impossible de démontrer votre valeur ajoutée. Vous restez perçu comme un centre de coûts plutôt qu'un levier de performance.
Ces six erreurs partagent un point commun : invisibles au quotidien, leurs effets s'accumulent jusqu'à la perte de maîtrise. Un outil de ticketing adapté permet de les corriger sans mobiliser votre DSI pendant des mois. L'enjeu : passer du mode réactif au mode proactif grâce à de la méthode et des données. Et ça, aucun post-it ne pourra vous l'offrir 😅

par
Réduisez les coûts cachés du nettoyage et de la maintenance grâce à une gestion basée sur l’usage, des outils digitaux et un pilotage unifié. Découvrez comment optimiser votre budget.
Découvrir
par
Comment un outil de ticketing aide les services généraux à piloter les interventions, mieux suivre les prestataires et renforcer la performance contractuelle.
Découvrir
par
La QVCT représente un levier de transformation majeur pour les entreprises. Découvrez comment l’outil de ticketing permet d’adresser les six grands piliers définis par l’Anact.
Découvrir