Comment remettre l’humain au cœur des métiers de la propreté grâce aux bons outils ?

Longtemps perçu comme un métier invisible, le secteur de la propreté joue pourtant un rôle essentiel dans la qualité de vie au travail. Face aux évolutions sociétales, aux attentes croissantes des collaborateurs et aux enjeux environnementaux, une question s’impose : comment remettre l’humain au centre de ces métiers ?

La réponse passe par un meilleur accompagnement des agents, une reconnaissance accrue de leur rôle… mais aussi par le déploiement d’outils modernes qui facilitent leur quotidien et améliorent la qualité du service rendu.

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1. Pourquoi recentrer l’humain est essentiel aujourd’hui dans les métiers de la propreté

Un secteur structurant sur le plan économique et social

Avec plus de 600 000 salariés et près de 15 000 entreprises actives, la propreté constitue un secteur majeur de l’économie française (FEP – chiffres clés). En 2022, le chiffre d’affaires du secteur s’élevait à 18,7 milliards d’euros, soit une progression de +5 % malgré un contexte inflationniste (Services Propreté).

Propreté : bien-être au travail et impact sur la productivité

La propreté est un vecteur direct de qualité de vie au travail. Un sondage BVA réalisé pour la FEP en 2023 révèle que :

• 92 % des Français considèrent que la propreté contribue à la santé,
• 88 % au bien-être au travail,
• 65 % à la performance,
• 80 % à la motivation et à l’humeur quotidienne

Ces données confirment que la propreté n’est pas qu’une question d’hygiène : c’est un véritable levier social et organisationnel pour les entreprises.

Le travail en journée : une révolution silencieuse

Traditionnellement réalisé tôt le matin ou tard le soir, le nettoyage tend à se déployer de plus en plus en journée.

Les bénéfices sont multiples :

• Pour les agents : meilleure conciliation vie pro/vie perso, réduction du sentiment d’isolement, relations plus humaines avec les occupants.
• Pour les entreprises : visibilité du service rendu, valorisation des équipes de propreté, amélioration de la qualité perçue.Selon la FEP, 70 % des Français se disent favorables au travail en continu ou en journée (Cleany).

Un enjeu RSE et environnemental

Enfin, la propreté est directement liée à la transition écologique :

• Réduction des consommations d’eau et de produits
• Optimisation des déplacements
• Contribution aux certifications HQE, ISO, WELL

La FEP rappelle que les entreprises de propreté ont un rôle clé à jouer dans la sobriété énergétique et la durabilité.

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2. Quels outils permettent de remettre l’humain au centre ?

a) Les outils digitaux de pilotage

La gestion de la propreté implique souvent plusieurs sites, des centaines d’agents et un cahier des charges complexe. Les outils digitaux permettent de :

• Centraliser les informations (planning, incidents, demandes clients),
• Fluidifier la communication entre agents, managers et clients,
• Améliorer la traçabilité des interventions.

Exemple : le cahier de liaison digital MerciYanis remplace les versions papier et assure une visibilité partagée en temps réel.

b) Les QR codes et applications collaboratives

Les QR codes multi-usages installés sur site permettent :

• Aux occupants de signaler un incident en quelques secondes,
• Aux agents de valider leurs passages,
• Aux responsables de suivre les prestations en direct.

Ce type de solution favorise une communication simple, sans barrières techniques, et anonyme.

c) Les capteurs connectés et la propreté à l’usage

Grâce à l’IoT (Internet des Objets), il est désormais possible d’adapter les interventions à l’usage réel des espaces :

• Capteurs de fréquentation dans les sanitaires pour déclencher une repasse après un certain nombre de passages,
• Capteurs d’occupation pour cibler le nettoyage des salles de réunion réellement utilisées,
• Distributeurs connectés pour éviter les ruptures de consommables.

Résultat : moins de tâches inutiles, plus de temps disponible pour les agents, et une meilleure qualité perçue par les occupants.

d) Feedback et reconnaissance

Donner la parole aux occupants et aux clients permet de valoriser le travail des agents :

• Bornes ou boutons de satisfaction,
• Enquêtes digitales après intervention,
• Suivi de la satisfaction en temps réel.

Ces outils offrent une reconnaissance immédiate aux agents et permettent d’ajuster les prestations.

e) Sécurité et prévention

Enfin, protéger les agents est une condition indispensable. Des solutions comme les PTI-DATI assurent la sécurité des salariés travaillant seuls. En cas de chute ou d’immobilité prolongée, une alerte est automatiquement envoyée au télésurveilleur ou au manager.

f) Formation digitale et montée en compétences

La valorisation passe aussi par la formation continue. L’INHNI (organisme de formation de la branche propreté) propose des parcours e-learning et des modules pour renforcer les compétences des agents (sécurité, nouvelles techniques, RSE). Certaines entreprises expérimentent même la réalité virtuelle pour former aux bons gestes, rendant la formation plus engageante et valorisante.

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3. MerciYanis : un levier concret pour remettre l’humain au centre

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Superviser plusieurs sites, organiser des rondes, gérer les stocks de produits et répondre aux attentes des clients : autant d’éléments qui rendent la gestion des services de propreté particulièrement exigeante.

Avec sa plateforme tout-en-un, MerciYanis propose un outil unique pour piloter les prestations, faciliter la communication entre les acteurs et suivre la qualité de service.

Là où les solutions se multiplient, MerciYanis centralise l’essentiel au même endroit et apporte davantage de sens et de visibilité au métier :

• Les managers disposent d’une vision claire pour anticiper et ajuster,
• Les agents voient leur travail reconnu et suivi,
• Les clients bénéficient d’une transparence accrue et d’une meilleure réactivité.

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