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Moi, c’est Ophélie, 35 ans, ex-parisienne et toulousaine d’adoption - en tout cas, j’essaie : j’ai la croix occitane autour du cou pour passer inaperçue à défaut d’avoir l’accent. Après mon plus gros voyage qui a duré 10 mois, j’ai réalisé en rentrant que j’avais envie de prendre le large, mais en France cette fois. Objectif atteint il y a un peu plus de 3 ans direction Toulouse. Depuis un an, j’ai même troqué la ville pour la campagne toulousaine, où je vis au milieu des champs 🌾
Il y a des rêves qu’on garde depuis l’enfance. Pour moi, c’était de partir en Nouvelle-Zélande. Pourquoi la Nouvelle-Zélande ? Simplement parce que c’était l’endroit le plus éloigné de ma région parisienne : près de 19 000 km !
Il y a quelques années (oui bon ok, ça fait déjà 11 ans 👵🏼) je me suis retrouvée à un moment important de ma vie. L’envie de partir à l’aventure me titillait depuis longtemps, mais on a toujours mille bonnes raisons de ne pas bouger : les études, la sécurité, le confort, la famille, le CDI…
Et puis un jour, j’ai dit stop. J’ai quitté mon poste, acheté un billet aller et me suis envolée pour l’autre bout du monde. Là, je vous l’accorde, on dirait un peu le début d’un téléfilm à l’eau de rose : mais non, je n’ai pas rencontré Stanislas à l’aéroport d’Auckland, PDG en burn-out, venu en retraite spirituelle en terre néo-zélandaise.
Me voilà plutôt au milieu des champs de kiwis à ramasser ce fruit emblématique d’Aotearoa (Nouvelle-Zélande en Maori, qui signifie “Le Pays du long nuage blanc”).
C’était alors parti pour le début d’un long voyage (sans vraiment le savoir) à travers plus d’une dizaine de pays — des Fidji au Laos, en passant plus tard par le Togo ou la Colombie.
Des lieux, des cultures, des rencontres… et surtout, des leçons de vie qui m’accompagnent encore aujourd’hui.
La découverte de ces pays et de leur culture m’a confortée dans l’idée que voyager est, à mon sens, primordial !
Et en regardant en arrière, je réalise à quel point ce voyage m’a appris des choses que je réutilise au quotidien (souvent inconsciemment), même assise devant mon ordi chez MerciYanis.
Voyager, ce n’est pas seulement découvrir de nouveaux paysages ou prendre des photos de cartes postales. C’est aussi un véritable travail sur soi-même. En voyage, on développe des compétences que l’on ne trouve pas forcément dans les livres et qui ne sont pas enseignées durant le parcours scolaire.
Il y a des compétences qui nous servent tous les jours, sans qu’on s’en rende vraiment compte. Ces compétences, on les appelle les soft skills :
Quand on rentre après avoir vécu des mois — voire des années — à l’étranger, on a l’impression que tout va très vite, que les gens courent et que la routine s’installe rapidement. Mais ce que j’ai découvert, c’est qu’il est possible de garder cet état d’esprit nomade, même en travaillant dans une entreprise stable.
J’ai aussi réalisé que je ressentais le besoin de quitter la région parisienne plus que tout, après être revenue de tous ces voyages. Cela aura pris quasiment 10 ans “à cause” de mon emploi, mais j’ai finalement passé le cap en m’installant en région toulousaine il y a maintenant bientôt 4 ans.
Chaque jour, je m’efforce de rester curieuse, d’apprendre, de relativiser et de toujours chercher du sens dans tout ce que je fais. J’ai trouvé tout cela chez MerciYanis. C’est une entreprise où l’humain compte, où l’on encourage l’évolution et l’ouverture d’esprit. Chez MerciYanis, il est possible de rester soi-même tout en continuant de grandir (Bien que mes 35 ans me placent dans le top 3 des plus vieux).
C’est ce que j’ai cherché pendant mon voyage et c’est ce que j’ai trouvé.
Je suis passée d’un sac à dos rempli de rêves et de curiosité, à une boîte à outils plus mentale que matérielle.
Et je continue chaque jour à explorer de nouvelles façons de faire, de penser et d’échanger.
Si je devais résumer le voyage en une phrase :
“C’est un truc à faire au moins une fois dans sa vie.”
Pas forcément au bout du monde, pas forcément longtemps, mais oser partir, même un peu, apporte énormément. Voyager, ce n’est pas tant le nombre de pays que l’on visite, mais ce qu’on en fait. Ces expériences sont une source précieuse de découvertes personnelles et professionnelles.
À défaut de pouvoir continuer de voyager autant (👧🏼), je continue d’explorer : pas toujours avec un sac à dos, mais toujours avec l’envie de découvrir, d’apprendre et de partager. Et j’espère que ce témoignage donnera à d’autres l’envie de partir à leur tour, d’oser l’aventure et de découvrir à quel point cela peut les transformer.
On n’a pas tous besoin de partir à l’autre bout du monde pour vivre une aventure. Mais parfois, il suffit d’oser sortir du cadre — même un peu — pour transformer son regard, ses habitudes… et sa manière d’être et de travailler 🤓
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